La Fédération Sud-Africaine de Surf (SAS) ne badine pas avec la sécurité des pratiquants. C’est pourquoi elle va lancer à partir du mois d’avril un vaste programme de formations aux premiers secours dédiées aux surfeurs, en partenariat avec la National Sea Rescue Institute (NSRI), organisme national de sauvetage en mer.
L’objectif est d’enseigner les bons réflexes et les gestes qui sauvent en cas d’incident ou d’accident sur le spot, le temps que les secours organisés arrivent. Les participants à ces formations apprendront par exemple les techniques de réanimation cardiorespiratoire, l’utilisation d’un défibrillateur, la gestion des traumatismes comme les fractures ou les coupures, ou encore l’organisation des secours.
Des compétences précieuses quand on sait que la pratique du surf, comme tout sport nautique, n’est pas sans danger. Mieux vaut prévenir que guérir, comme le dit l’adage.
Cape Town accueillera les premières sessions de formation dès le mois prochain, avant un déploiement progressif dans d’autres villes sud-africaines en fonction de la demande. À terme, l’ensemble des spots du pays devraient pouvoir profiter du dispositif.
La Fédération Sud-Africaine de Surf, soutenue par la Confédération Africaine de Surf, souhaite ainsi outiller un maximum de surfers pour leur permettre de réagir efficacement en cas de problème, avant l’arrivée des secours qualifiés.
Car on le sait, les premières minutes après un accident sont souvent décisives pour limiter la gravité des blessures et optimiser les chances de survie. Mieux formés, les riders seront à même d’intervenir rapidement sur le spot pour prodiguer les gestes de premiers secours à un compagnon en détresse.
Cet enjeu de sécurité concerne aussi bien les surfeurs chevronnés que les débutants. La pratique en solo, de nuit ou par mauvaises conditions météo sont autant de facteurs de risque. D’où l’importance de ces formations pour adopter les bons réflexes, voire sauver des vies.
À terme, la SAS ambitionne de former le maximum de pratiquants possible aux premiers secours. Un objectif qui s’inscrit pleinement dans le programme de développement qualitatif mis en place par la Confédération Africaine de Surf.
La FAS martèle que la sécurité des riders doit être la priorité de toutes les fédérations nationales. Elle encourage d’ailleurs ce type d’initiatives visant à renforcer la formation en secourisme et sauvetage côtier à travers le continent.
Ainsi, le programme lancé par l’Afrique du Sud pourrait servir de modèle et être reproduit à l’avenir dans d’autres pays africains, avec l’aide de la FAS. Preuve que la solidarité panafricaine a un rôle clé à jouer pour garantir la sécurité de TOUS les pratiquants, du Cap à Dakar en passant par Djibouti.
La Fédération Sud-Africaine de Surf (SAS) ne badine pas avec la sécurité des pratiquants. C’est pourquoi elle va lancer à partir du mois d’avril un vaste programme de formations aux premiers secours dédiées aux surfeurs, en partenariat avec la National Sea Rescue Institute (NSRI), organisme national de sauvetage en mer.
L’objectif est d’enseigner les bons réflexes et les gestes qui sauvent en cas d’incident ou d’accident sur le spot, le temps que les secours organisés arrivent. Les participants à ces formations apprendront par exemple les techniques de réanimation cardiorespiratoire, l’utilisation d’un défibrillateur, la gestion des traumatismes comme les fractures ou les coupures, ou encore l’organisation des secours.
Des compétences précieuses quand on sait que la pratique du surf, comme tout sport nautique, n’est pas sans danger. Mieux vaut prévenir que guérir, comme le dit l’adage.
Cape Town accueillera les premières sessions de formation dès le mois prochain, avant un déploiement progressif dans d’autres villes sud-africaines en fonction de la demande. À terme, l’ensemble des spots du pays devraient pouvoir profiter du dispositif.
La Fédération Sud-Africaine de Surf, soutenue par la Confédération Africaine de Surf, souhaite ainsi outiller un maximum de surfers pour leur permettre de réagir efficacement en cas de problème, avant l’arrivée des secours qualifiés.
Car on le sait, les premières minutes après un accident sont souvent décisives pour limiter la gravité des blessures et optimiser les chances de survie. Mieux formés, les riders seront à même d’intervenir rapidement sur le spot pour prodiguer les gestes de premiers secours à un compagnon en détresse.
Cet enjeu de sécurité concerne aussi bien les surfeurs chevronnés que les débutants. La pratique en solo, de nuit ou par mauvaises conditions météo sont autant de facteurs de risque. D’où l’importance de ces formations pour adopter les bons réflexes, voire sauver des vies.
À terme, la SAS ambitionne de former le maximum de pratiquants possible aux premiers secours. Un objectif qui s’inscrit pleinement dans le programme de développement qualitatif mis en place par la Confédération Africaine de Surf.
La FAS martèle que la sécurité des riders doit être la priorité de toutes les fédérations nationales. Elle encourage d’ailleurs ce type d’initiatives visant à renforcer la formation en secourisme et sauvetage côtier à travers le continent.
Ainsi, le programme lancé par l’Afrique du Sud pourrait servir de modèle et être reproduit à l’avenir dans d’autres pays africains, avec l’aide de la FAS. Preuve que la solidarité panafricaine a un rôle clé à jouer pour garantir la sécurité de TOUS les pratiquants, du Cap à Dakar en passant par Djibouti.